Outils et workflow
Progression
#Outils et workflow
Un bon workflow évite les surprises. Il standardise le formatage (Prettier), impose des règles (ESLint, types), automatise les tests et produit des artefacts reproductibles. La simplicité compte plus que l’exhaustivité: quelques scripts bien nommés valent mieux qu’un outillage opaque. Documentez ce que fait chaque script et limitez les dépendances.
Pensez le cycle de vie d’un changement: du premier commit à la mise en production, chaque étape doit donner un signal clair. Les erreurs fréquentes viennent de “trous” entre ces étapes: un linteur non aligné entre local et CI, des tests qui passent en local mais échouent en CI faute de variables d’environnement, ou des builds non déterministes.
#De l’IDE à la prod: vision d’ensemble
#Animation: garde‑fous continus
Configurez le formatage automatique et un lintage dans l’éditeur. Le but est d’éviter les écarts de style et d’attraper les erreurs triviales au plus tôt.
#Scripts utiles (exemple)
Vous pouvez centraliser la vérification dans un script check
qui enchaîne type‑check, lint et tests. L’important est la reproductibilité: la même commande tourne localement et en CI.
1{2 "scripts": {3 "format": "prettier -w .",4 "lint": "eslint .",5 "typecheck": "tsc -p tsconfig.json --noEmit",6 "test": "vitest run",7 "check": "npm run typecheck && npm run lint && npm run test"8 }9}
Mini‑exercice: ajoutez un hook de pré‑commit qui exécute npm run check
sur les fichiers modifiés (ex.: via lint-staged
). Vérifiez qu’un commit casseur est bloqué localement et reflété par la CI.